Affaire Benalla : le « fichage politique » est supervisé par une proche de Macron
INFO PANAMZA. Co-financée par Soros, l'ONG accusée d'avoir "fiché" des commentateurs sur Twitter de l'affaire Benalla est sous contrôle du clan Macron. Révélations.
Le 10.08.2018 à 15h58
Il est le représentant médiatique (surencensé par les journalistes mainstream mais un brin risible dans ses prétentions intellectuelles) d'une organisation aujourd'hui dans le collimateur : Nicolas Vanderbiest, co-fondateur de DisinfoLab -une société prétendument engagée contre la désinformation sur internet et récemment co-financée par le marchand d'armes/prédateur financier George Soros.
En février 2015, le jeune homme était convié par le gouvernement Valls auprès des guignols crypto-sionistes Rudy Reichstadt et Romain Pigenel, sous le regard du préfet ordurier Christan Gravel.
Thème du débat hautement grotesque par son entre-soi et son absence de toute contradiction : le "conspirationnisme", bien sûr.
Vanderbiest surgira sur la scène médiatique, quelques mois plus tard, à la faveur d'un article consacré au "bruit" sur l'opération Tel-Aviv-sur-Seine dans lequel le chercheur, à peine fielleux, affirme que "les milieux pro-palestiniens ont habilement joué leur coup"…
Jeudi 9 août, des internautes ayant dénoncé -via Twitter- l'affaire Benalla ont découvert, pour la plupart, avoir été "fichés" sur une liste (accidentellement fuitée) de l'agence DisinfoLab, à l'origine d'une étude controversée sur le marqueur dit "russophile" des détracteurs de l'affaire Benalla.
À noter : Panamza est évidemment fiché. Matricule 42180.
Pour comprendre qui se cache derrière cette pseudo-ONG indépendante, il faut démonter la poupée russe du DisinfoLab et remonter plus haut.
Plus précisément : à son…